Articles de blog


Dans cette rubrique, je partagerai avec vous mes expériences d'auteure, bonnes ou mauvaises, ainsi que mes interrogations dans ce domaine.


La musique au service des mots.

De la musique dans un roman ? Quelle étrange idée !

LES SANS-FACTIONS DE L'EDITION

Auto-édition, un choix ou une punition ?

J'ai couché mes mots sur le papier. Maintenant, j'en fais quoi ?

Ne passez pas à côté des cinq règles à respecter pour un manuscrit de qualité.

MOI, AUTEURE ? ET POURQUOI PAS ?

Vous aussi, osez la folie !


Qui, après avoir terminé un bon livre ou avoir regardé un super film, ne s’est jamais dit : j’aurais aimé être l’auteur de cette histoire ?

Je plaide coupable. Et pas qu’une fois…

Le Nombre 23… Voilà un thriller dont j’aurais vraiment aimé signer le scénario. C’est d’ailleurs mon film préféré. Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, Jim Carrey dans le rôle principal y est méconnaissable, torturé au possible. Pour moi, il s’agit de son meilleur rôle, mais ce n’est évidemment que mon avis. Je vous encourage fortement à vous faire le vôtre.

Toujours est-il que des histoires, j’en avais des dizaines qui encombraient mon esprit. Et même si, pour ceux qui auront lu mon article intitulé DES MAUX AUX MOTS, vous vous souviendrez qu’à la base, je me suis lancée dans l’écriture de manière quasi-thérapeutique. Toutefois, rien n’empêche d’allier l’utile à l’agréable.

Mais encore faut-il réussir à surmonter sa peur de se lancer et son angoisse de ne pouvoir arriver au bout de son projet !


1 – La peur de se lancer

Ah ! Qu’il est difficile de se décider à coucher ses mots sur le papier ! Et croyez bien que je parle d’expérience ! Il est chose aisé de laisser son esprit créer des personnages et leurs imposer toutes sortes de péripéties. Là où cela ce complique, c’est lorsqu’il faut s’en saisir. Les faire vôtre à cent pour cent et les légitimer avec des mots. Comment dois-je m’y prendre ? Quelles sont les règles à respecter ? D’aussi loin que je m’en souvienne, je n’étais pas très bonne en français à l’école, alors pourquoi perdre mon temps et mon énergie (et Dieu sait qu’il en faut) dans ce projet ? Etc…

C’est vrai, présenté de cette manière, cela ne paraît pas trop engageant. Mais ne soyez pas effrayés. N’oubliez jamais : cette histoire est la vôtre ! Elle n’a pas à ressembler à une autre. Elle n’a pas besoin d’être parfaite. D’ailleurs, la perfection n’existe pas ! C’est un fait que j’ai réalisé il n’y a pas si longtemps, alors il était de mon devoir de vous le partager.

Que le personnage principal vous ressemble ou soit votre opposé, qu’il soit gentil ou totalement antipathique, que le rythme de l’histoire soit rapide ou au contraire plus lent, l’important est de vous faire plaisir ! Écrire ne doit en aucun cas être une corvée. Ce doit être au contraire un second souffle !

Cela l’a été et l’est toujours pour moi. Pour mon premier écrit, je n’avais rien planifié. Je n’avais pas réfléchi aux embûches que j’allais mettre sur la route de mon personnage principal, et la vague ligne conductrice qui me trottait dans la tête s’est vite trouvée déviée par les personnages eux-mêmes. Je leur ai donc passé la main et les ai laissés créer leur propre histoire… Et je ne l’ai pas regretté. Le résultat est celui-ci : Pour toujours et à jamais.

N’ayant pas peur de vous laisser déborder par l’histoire, il en sortira forcément de bonnes choses. Et si l’idée de parsemer votre texte de fautes d’orthographe et de syntaxe vous empêche encore de vous lancer sur ce magnifique chemin de création, chassez-là de votre esprit ! Ceci n’est qu’un détail qui pourra aisément être corrigé une fois votre histoire achevée !


2 – L’angoisse de ne pas arriver au bout

L’aventure est en marche. Cela fait un moment maintenant que vous avez délaissé votre livre de chevet et vos séries TV pour remplir une multitude de feuilles blanches de vos propres mots. Mais voilà, vous n’en voyez pas la fin et commencez à douter ! Ai-je eu raison de me lancer dans cette aventure ? Ce projet n’était-il pas trop grand pour moi ? Après tout, je ne suis pas auteur !…

Stop ! Vous avez déjà oublié la seule règle importante : ceci est votre histoire, vous en faite ce que vous voulez !

Facile à dire pour toi qui as déjà écrit cinq livres ! me direz-vous. Certes, mais au tout début, j’étais comme vous. Et aujourd'hui encore, ces sentiments viennent me tourmenter.

Pas de panique. C’est tout à fait normal. Vous pouvez faire une petite pause si l’inspiration se fait moins présente, mais pas trop longtemps. Le risque étant qu’en arrêtant d’écrire pendant une trop grande période, vous perdiez le rythme et l’émotion des débuts. Je vous conseille fortement de continuer à poser vos mots, même si sur le moment, ceux-ci vous semblent maladroits, inappropriés, insensés, et d’y revenir plus tard, plutôt que de laisser le récit en suspend. Une histoire figée aura beaucoup de mal à retrouver son souffle.


3 – Que faire de mon manuscrit ?

Vous ne vous êtes pas laissés démonter par les différentes embûches que vous avez rencontrées durant cette expérience et voilà que vous venez de mettre le point final à votre écrit. Félicitations ! Prenez le temps de savourer ce moment ! Célébrez-le ! Vous n’en avez peut-être pas l’impression, mais vous venez d’accomplir quelque-chose de grand ! Ne laissez pas votre petite voix intérieure ou des personnes de votre entourage minimiser votre exploit. Vous avez investi beaucoup de temps et de votre personne. Soyez fier de vous ! Moi, je suis fière de vous !

Si passé quelque jours, ce sentiment d’euphorie retombe, ou pire, s’il se transforme en frustration, c’est qu’il est temps pour vous de passer à l’étape suivante et de se poser une nouvelle question : que dois-je faire de mon manuscrit à présent ?

Libre à vous de garder cet écrit pour vous. Mais, vous avez également la possibilité d’en faire profiter les autres. Ne vous sous-estimez pas. Il ne peut pas être mauvais si vous y avez mis tout votre cœur.

Si vous optez pour la publication de votre manuscrit, alors plusieurs possibilités s’offrent à vous : le poster sur des sites littéraires, l’envoyer à des maisons d’éditions et attendre leurs retours, ou vous auto-publier. Toutefois, dans ces trois cas, vous allez devoir, avant même de faire votre choix, relire plusieurs fois votre récit pour vous assurer qu’il n’y a pas d’incohérences de lieux ou de temps par exemple, et que l’orthographe soit correcte. N’hésitez pas pour cette étape à faire appel à une personne extérieure qui saura découvrir ce que votre cerveau a appris par cœur.


Maintenant que vous connaissez les clés pour devenir auteur, vous n’avez plus aucune excuse pour ne pas tenter l’expérience. Lancez-vous !



Et n'oubliez pas de donnez votre avis sur cet article en cliquant ici, cela ne prendra pas plus de deux minutes !

DES MAUX AUX MOTS

Ou comment écrire m'a sauvé la vie…


Chacun de nous est amené à connaître des déconvenues. Beaucoup sont insignifiantes. Fugaces, elles ne laissent que peu de traces de leur passage. D’autres, au contraire, nous imposent de nous remettre en question. Mais certaines, quant à elles, sont tellement dévastatrices qu’elles nous marquent au point de nous changer complètement…


Il y a huit ans, j’ai perdu une personne qui était très chère à mon cœur. Et bien que la connaissance de sa maladie et son issue fussent connues, je ne m’étais pas préparée à la perdre. Sans doute avais-je voulu croire qu’un miracle se produirait. Hélas, celui-ci ne s’accomplit pas, me laissant dévastée. Et après le choc, le déni et la colère, le vide était venu envahir mon être. Nous pensons, à tort, que le temps est notre ami face à ce genre d’épreuve. Grossière erreur ! Le temps file à toute allure et la vie nous entraîne avec lui. Mais les émotions, elles, ont la fâcheuse habitude de vouloir se mettre en pause. Nous empêchant par la même occasion de poursuivre notre chemin. Aussi, sommes-nous nombreux à vouloir les enfermer dans une petite boîte avec l’intention de les ressortir au moment opportun… Celui où nous serons plus libres de nous réconcilier avec elles. Deuxième erreur ! Les sentiments n’ont aucune patience et au moment où notre vie semble enfin revenir à la normale, ces derniers font exploser la prison dans laquelle nous les avions bannis, nous obligeant à revivre nos pires cauchemars. Ce fut mon cas. Heureusement, j’ai trouvé la solution pour accepter ce deuil et faire taire mon chagrin. J’ai commencé à écrire !


1 - Comment m’est venu l’idée de poser mes maux sur le papier ?

J’ai toujours été quelqu’un qui s’ennuie très rapidement. Aussi, il n’était pas rare que mon esprit se perde à imaginer tout un tas d'aventures. Mais je ne m’étais jamais sentie capable jusqu’alors de les immortaliser sur le papier. Et puis, pourquoi l’aurais-je fait ? Je n’étais pas auteure. Rien ne légitimait le fait que je passe toutes mes nuits à pianoter sur le clavier de mon ordinateur. Cependant, face au poids de mon chagrin, l’idée s’est peu à peu imposée à moi. Aussi, courant 2016, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis assise face à mon ordinateur…


2 - Était-ce difficile ?

Ne dit-on pas que “le premier pas est toujours le plus dur” ? Certainement, mais pas que celui-ci…

La décision de m’épancher n’avait pas été facile à prendre, mais la suite de l’aventure n’allait pas être plus simple. Nombre de questions se bousculaient dans ma tête. Comment commencer ? Quoi raconter ? Fallait-il censurer certaines parties de mon histoire ou au contraire, décrire sans pudeur ses moindre aspects ? Quelle forme conviendrait mieux à cet exercice : un simple journal intime ou un roman ? Devais-je m’impliquer dans l’histoire ou préférer rédiger mon récit à la troisième personne, afin d’amoindrir l’impact émotionnel ? A qui demander conseil ? Personne ! Personne ne connaissait l’étendue de mes blessures intérieures. Je n’étais pas sûre de le savoir moi-même. Ce travail devait absolument être personnel pour être salvateur. Et finalement, après des jours à me prendre la tête inutilement, je me suis dit que ce texte serait un écrit à visée thérapeutique, et donc, que nul ne le lirait jamais. Aussi, il m’était apparu primordial d'arrêter de réfléchir et de me laisser conduire par mes émotions enfouies.


3 - Quelles ont été les bénéfices d’un tel exercice ?

La question de la forme jetée aux oubliettes, mes doigts pianotant à leur guise sur le clavier, ils me firent revivre les événements tragiques de mon existence, les uns après les autres. Inutile de vous dire que l’exercice fut assez pénible. Après plusieurs mois d’écriture intensive, j’étais épuisée. Mais force est de constater que mon cœur s’en trouvait léger… bien plus léger ! L’incompréhension et la colère avaient disparu, de même que la culpabilité face à mon impuissance à n’avoir pu sauver la vie de l’être cher. De plus, grâce à la forme de roman que j’avais donnée à mon écrit, et même en ayant opté pour un récit à la première personne, j’ai pu prendre la liberté de verbaliser mes peines, peurs, doutes, de même que mes désirs cachés, sans avoir à ressentir la honte qui nous empêche souvent de nous confier à nos amis. J’ai pu relativiser pas mal de choses, définir qui j’étais réellement et découvrir ce à quoi j’aspirais en secret, une fois débarrassée du masque de l’uniformisation que la société nous oblige à revêtir pour être accepté d’elle et nous permettre d’intégrer un groupe.


4 - Et vous, êtes-vous prêt à passer des maux aux mots ?

Si vous vous reconnaissez dans mon histoire, je vous invite à tester cet exercice. Nul doute que vous en ressortirez grandi. Et si vous ne parvenez pas à régler l’ensemble de vos difficultés en un seul écrit, pourquoi ne pas en commencer un deuxième ? Toutefois, je tiens à souligner le fait que ce travail ne se substitue évidemment pas à une thérapie chez un professionnel. Si vous vous sentez submergé par vos problèmes, et qu’écrire ne vous a pas permis de retrouver la paix intérieure que vous cherchiez, n’hésitez pas à consulter. Dans tous les cas, votre travail n’aura pas été réalisé en vain. Il pourra même aider le professionnel à mieux vous connaître. Et si finalement, vous êtes satisfait par vos écrits, pourquoi ne pas les publier ? Contre toute attente, c’est le choix que j’ai fait. Forte de cet exercice qui, je suis encore intimement convaincue, m’a sauvé la vie, j’ai voulu aller jusqu’au bout du processus en le rendant public et en publiant mon histoire. Qui sait, au travers de ces lignes romancées, je fomente le vœu que certains trouveront du réconfort dans l’idée qu’ils ne sont pas seuls à ressentir ces sentiments qui les tourmentent. Si la curiosité vous chuchote à l’oreille de venir jeter un œil sur mes écrits, ceux-ci sont présenter ici.

N’hésitez pas à donner votre avis sur le sujet de l'écriture thérapeutique en cliquant ! J’ai hâte de vous lire !


VOTRE ROMAN FANTASY IDÉAL !

En ces temps plus que moroses, quoi de mieux que de se plonger dans la lecture d'un bon livre afin de s'évader ? Mais encore faut-il réussir à trouver le bon livre. Et quand je dis “bon”, il convient d'entendre celui qui nous fait vibrer du début à la fin. La pépite des pépites ! Notre fantasy idéal !


En tant qu'auteure et lectrice de roman Fantasy, je me suis demandée quels étaient vos critères pour déterminer si un livre était fait pour vous. J'ai donc fait circuler une enquête sur les réseaux sociaux et voilà ce que j'ai découvert…


Quand, comment se lit cette petite pépite ?

Pour 86,3% d'entre vous, votre fantasy idéal se lit le soir et 53,9% y passe plus de deux heures. Pour ma part, c'est également le cas. Sauf, bien sûr, si le roman est captivant au point de ne pas pouvoir le lâcher avant de connaître son dénouement, mais c'est rare… Quant au format utilisé, le papier et l'ebook se partagent de manière homogène la part du marché.


Intéressons-nous au visuel…

80,2% du choix des lecteurs et lectrices se fait à partir des impressions laissées par le résumé. Le graphisme de la couverture, l'auteur et le prix n'arrivent, respectivement, qu'en deuxième, troisième et quatrième position. En parlant de prix, votre Fantasy idéal ne devra pas dépasser 15 euros pour les versions papier.


Mais que doit-il raconter au juste ?

Une histoire haletante bien sûr ! Oui, mais pas que… Pourquoi se contenter d'une seule histoire quand on peut en avoir plusieurs ? Des histoires secondaires pleines de rebondissements sont fortement attendues. Et comme vous voulez de l'action (moi aussi d'ailleurs !), cet ouvrage devra faire l'impasse sur les descriptions à rallonge et privilégier les dialogues. Sinon, on peut se replonger dans Au Bonheur des Dames d'Emile Zola, mais l'effet ne sera pas le même. Du moins, pas sur moi (Mauvais souvenir d'école. Mais chut ! Ça doit rester entre nous !)

Je m'éloigne du sujet. Revenons-en aux personnages. Vous attendez qu'ils soient attachants, drôles, et dans la conjoncture actuelle, où les contacts physiques sont prohibés, vous ne seriez pas opposés à une petite romance. Qui a dit petite ? Pas moi ! Vous non plus d'ailleurs ! Non, les histoires d'amour doivent être passionnelles, sans toutefois tomber dans des triangles amoureux ou l'affichage de scènes de sexe trop récurrentes. Et pour terminer en beauté, quoi de mieux qu'un happy end ?



Voici donc à quoi ressemblerait le roman fantasy idéal. Dites-moi si vous reconnaissez le vôtre en utilisant le formulaire de contact qui se trouve sur la page à propos ou en cliquant directement ici.

Je serai plus que ravie de lire vos retours sur le sujet !



VOTRE THRILLER IDÉAL EN TROIS AXES !

Qui ne rêverait pas, après une journée éprouvante, de pouvoir entrer dans la tête de quelqu'un d'autre sans quitter le confort de son lit ? Et bien, c'est possible ! Et pour ce faire, quoi de plus simple que de se plonger dans le genre littéraire que vous affectionnez le plus : le thriller ?


C'est une expérience que j'adore. Celle qui me permet d'être quelqu'un d'autre l'espace un instant. Toutefois, tous les romans ne sont pas propices à la réalisation de cet exercice. Il convient, au préalable, de dénicher le thriller adéquat. Mais quel est-il au juste ?

J'avais ma petite idée sur le sujet, mais il me tenait à cœur d'avoir le point de vue d'autres lecteurs. Aussi, j'ai diffusé un questionnaire visant à découvrir les caractéristiques du thriller idéal. Il est temps maintenant d'analyser ces résultats. Allons-y !


Considérons d'abord l'axe commercial.

L'odeur du papier, le bruit des pages qui se tournent… Le livre tel que nous le connaissons reste le support privilégié pour apprécier pleinement cette expérience de lecture . Et quoi de mieux que d'allumer deux ou trois bougies pour amplifier l'effet hypnotique de la nuit, car pour 87,5% des lecteurs et lectrices interrogés, le thriller idéal se lit lorsque la pénombre prend le pas sur la lumière du jour.

Et tandis que 73,9% d'entre eux choisiront de se laisser convaincre par le résumé, 14,8% le seront par la couverture. Le nombre de pages est, quant à lui, le critère d'achat qui arrive en troisième position.


Passons maintenant à l'analyse d'après un axe littéraire.

Sortez vos dictionnaires, révisez vos conjugaisons, le thriller idéal doit être exempt de fautes et de grossièretés. Ce qui vous fait vibrer, c'est un style incisif et un langage soutenu.


Mais émotionnellement, qu'attendez-vous ?

Vous voulez rire, pleurer, trembler de peur… en d'autres termes, devenir pleinement le héros de l'histoire qui défile sous vos yeux. Ou mieux encore, le thriller idéal doit être écrit de manière à permettre aux lecteurs de ressentir les émotions qui torturent chacun des personnages. Moi, c'est ce que je cherche en priorité. Si je n'ai pas versé une petite larme avant la dernière page du livre, c'est qu'hélas, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire…


Deux points cruciaux à ne pas ignorer :

1 - Vous détesteriez être confronté à de la violence gratuite.

2 - Les histoires d'amour ne doivent pas déboucher sur des orgies ou des actes sexuels forcés.


Que pensez-vous de ces résultats ? Reconnaissez-vous votre thriller idéal dans cette description ? Donnez-moi votre avis en cliquant ici ! Je suis impatiente de vous lire !